Titre : |
Frankenstein ou Le Prométhée moderne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Mary Wollstonecraft Shelley (1797-1851), Auteur ; Paul Couturiau, Traducteur ; Joël Malrieu, Éditeur scientifique |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
1997 |
Collection : |
Folio num. 29 |
Importance : |
375 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-040283-0 |
Note générale : |
Bibliographie p. 374. Dossier |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Résumé : |
" Longues et nombreuses furent les conversations entre Lord Byron et Shelley, conversations que j'écoutais avec ferveur, mais sans presque jamais y prendre part. Au cours de l'une d'entre elles, il fut question de diverses doctrines philosophiques et parmi celles-ci, de la nature du principe de vie, de la possibilité qu'il soit un jour découvert et divulgué. (...) On disait qu'il (le Dr Darwin) avait conservé un morceau de vermicelle dans un bocal en verre et qu'un beau jour, par quelque moyen extraordinaire, ce vermicelle s'était mis de lui-même en mouvement. Ce n'était pas ainsi, en tout cas, que la vie se transmettrait. Peut-être parviendrait-on un jour à ranimer un cadavre. Le galvanisme portait à y croire. Peut-être serait-il possible de fabriquer les différentes parties d'un être, de les assembler et de leur insuffler la chaleur vitale. " (quatrième de couverture) |
Frankenstein ou Le Prométhée moderne [texte imprimé] / Mary Wollstonecraft Shelley (1797-1851), Auteur ; Paul Couturiau, Traducteur ; Joël Malrieu, Éditeur scientifique . - Paris : Gallimard, 1997 . - 375 p. - ( Folio; 29) . ISBN : 978-2-07-040283-0 Bibliographie p. 374. Dossier Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Résumé : |
" Longues et nombreuses furent les conversations entre Lord Byron et Shelley, conversations que j'écoutais avec ferveur, mais sans presque jamais y prendre part. Au cours de l'une d'entre elles, il fut question de diverses doctrines philosophiques et parmi celles-ci, de la nature du principe de vie, de la possibilité qu'il soit un jour découvert et divulgué. (...) On disait qu'il (le Dr Darwin) avait conservé un morceau de vermicelle dans un bocal en verre et qu'un beau jour, par quelque moyen extraordinaire, ce vermicelle s'était mis de lui-même en mouvement. Ce n'était pas ainsi, en tout cas, que la vie se transmettrait. Peut-être parviendrait-on un jour à ranimer un cadavre. Le galvanisme portait à y croire. Peut-être serait-il possible de fabriquer les différentes parties d'un être, de les assembler et de leur insuffler la chaleur vitale. " (quatrième de couverture) |
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