Titre : |
La Mouette |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anton Tchekov, Auteur ; Patrice Pavis (1947-....), Éditeur scientifique ; Antoine Vitez (1930-1990), Autre |
Editeur : |
Paris : Librairie générale française |
Année de publication : |
1985 |
Collection : |
Le Livre de poche, ISSN 0223-7091 num. 6123 |
Importance : |
160 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-03777-4 |
Note générale : |
Dossier. Bibliographie p. 152-154 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Russe (rus) |
Résumé : |
"" Je peux planter un bâton, il prendra ", dit Tchékhov, parlant de ses dons de jardinier. De la même façon, il plante ses personnages autour d'une table et les voilà aussitôt qui jaillissent de la scène, comme d'un terreau. " Les gens dînent, ils ne font que dîner et pendant ce temps s'édifie leur bonheur ou se brise leur vie. " La Mouette, par exemple, où le temps n'en finit pas de s'écouler, où l'amour n'est jamais payé de retour, s'achève même sur une tragédie. Jardinier des lettres, Tchékhov sème des mots simples, de petites graines grises, sans odeur ni saveur particulières et ô miracle, nous les voyons fleurir comme en rêve, prendre des couleurs d'une tendresse surnaturelle. Et dans le silence, ce que nous entendons, c'est la musique de l'âme." (quatrième de couverture) |
La Mouette [texte imprimé] / Anton Tchekov, Auteur ; Patrice Pavis (1947-....), Éditeur scientifique ; Antoine Vitez (1930-1990), Autre . - Paris : Librairie générale française, 1985 . - 160 p. - ( Le Livre de poche, ISSN 0223-7091; 6123) . ISBN : 978-2-253-03777-4 Dossier. Bibliographie p. 152-154 Langues : Français ( fre) Langues originales : Russe ( rus)
Résumé : |
"" Je peux planter un bâton, il prendra ", dit Tchékhov, parlant de ses dons de jardinier. De la même façon, il plante ses personnages autour d'une table et les voilà aussitôt qui jaillissent de la scène, comme d'un terreau. " Les gens dînent, ils ne font que dîner et pendant ce temps s'édifie leur bonheur ou se brise leur vie. " La Mouette, par exemple, où le temps n'en finit pas de s'écouler, où l'amour n'est jamais payé de retour, s'achève même sur une tragédie. Jardinier des lettres, Tchékhov sème des mots simples, de petites graines grises, sans odeur ni saveur particulières et ô miracle, nous les voyons fleurir comme en rêve, prendre des couleurs d'une tendresse surnaturelle. Et dans le silence, ce que nous entendons, c'est la musique de l'âme." (quatrième de couverture) |
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