Titre : |
Les peurs de Conception |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Agnès Desarthe (1966-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : l'École des loisirs |
Année de publication : |
1993 |
Collection : |
Médium |
Importance : |
195 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-211-01586-8 |
Résumé : |
"La couverture remontée jusqu'au nez, Conception pense aux mensonges qu'elle raconte à M.Mouche, son psychanalyste, depuis un an. Des mensonges, parce que la vérité, si elle est formulée au grand jour, s'autodétruit, pulvérisée par le ridicule : Conception a peur du noir. Quand la minuterie s'éteint dans l'escalier, l'obscurité se remplit de monstres, et Conception, paralysée, ne peut que se répéter ces deux mots : peur panique. Bien sûr, quand seule la tête dépasse de la couverture, avec les lumières allumées et la télé en marche, la victime est imprenable ; mais à quoi cela lui sert-il, puisqu'elle se sent nulle, que ses professeurs la disent ni littéraire ni scientifique, et qu'elle est amoureuse d'un tyran de quatorze ans qui la berce de jeux de mots sur son prénom. La solution est peut-être cachée dans les mots de Mme Kolda, le prof de piano, une vieille dame aux cheveux roses : - Respire, Conception." (quatrième de couverture) |
Les peurs de Conception [texte imprimé] / Agnès Desarthe (1966-....), Auteur . - Paris : l'École des loisirs, 1993 . - 195 p. - ( Médium) . ISBN : 978-2-211-01586-8
Résumé : |
"La couverture remontée jusqu'au nez, Conception pense aux mensonges qu'elle raconte à M.Mouche, son psychanalyste, depuis un an. Des mensonges, parce que la vérité, si elle est formulée au grand jour, s'autodétruit, pulvérisée par le ridicule : Conception a peur du noir. Quand la minuterie s'éteint dans l'escalier, l'obscurité se remplit de monstres, et Conception, paralysée, ne peut que se répéter ces deux mots : peur panique. Bien sûr, quand seule la tête dépasse de la couverture, avec les lumières allumées et la télé en marche, la victime est imprenable ; mais à quoi cela lui sert-il, puisqu'elle se sent nulle, que ses professeurs la disent ni littéraire ni scientifique, et qu'elle est amoureuse d'un tyran de quatorze ans qui la berce de jeux de mots sur son prénom. La solution est peut-être cachée dans les mots de Mme Kolda, le prof de piano, une vieille dame aux cheveux roses : - Respire, Conception." (quatrième de couverture) |
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