Titre : |
Je l'aimais |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anna Gavalda (1970-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Librairie générale française |
Année de publication : |
impr. 2007 |
Collection : |
Le Livre de poche, ISSN 0223-7091 num. 6243 |
Importance : |
154 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-290-34078-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
"" On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... " A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché." (quatrième de couverture) |
Je l'aimais [texte imprimé] / Anna Gavalda (1970-....), Auteur . - Paris : Librairie générale française, impr. 2007 . - 154 p. - ( Le Livre de poche, ISSN 0223-7091; 6243) . ISBN : 978-2-290-34078-3 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
"" On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... " A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché." (quatrième de couverture) |
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