Titre : |
Boucs émissaires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Brock Cole, Auteur ; Michèle Poslaniec (1945-....), Traducteur |
Editeur : |
Paris : l'École des loisirs |
Année de publication : |
1989 |
Collection : |
Médium num. 23 |
Importance : |
202 p. |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-211-05934-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
"Deux adolescents pensionnaires d'une colonie de vacances sont les têtes de Turc de leurs camarades qui leur infligent une espèce de brimade consistant à les débarquer sur une île déserte où ils devront passer la nuit ensemble. La tradition exige qu'on les y laisse tout nus, et peut-être n'est-il pas sans intérêt de préciser que l'un de ces deux adolescents est un garçon, alors que l'autre est une fille. La plaisanterie tourne mal. Au matin, plus personne sur l'île. Où sont passés les deux " boucs émissaires " ? Probablement enfuis à la nage. Mais, s'ils ne se sont pas noyés, comment peuvent-ils se débrouiller maintenant sans vêtements ni argent ? Voilà tout le monde dans l'embarras, et la police avertie. Il y a aussi une mère qui s'inquiète." (quatrième de couverture) |
Boucs émissaires [texte imprimé] / Brock Cole, Auteur ; Michèle Poslaniec (1945-....), Traducteur . - Paris : l'École des loisirs, 1989 . - 202 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - ( Médium; 23) . ISBN : 978-2-211-05934-3 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
"Deux adolescents pensionnaires d'une colonie de vacances sont les têtes de Turc de leurs camarades qui leur infligent une espèce de brimade consistant à les débarquer sur une île déserte où ils devront passer la nuit ensemble. La tradition exige qu'on les y laisse tout nus, et peut-être n'est-il pas sans intérêt de préciser que l'un de ces deux adolescents est un garçon, alors que l'autre est une fille. La plaisanterie tourne mal. Au matin, plus personne sur l'île. Où sont passés les deux " boucs émissaires " ? Probablement enfuis à la nage. Mais, s'ils ne se sont pas noyés, comment peuvent-ils se débrouiller maintenant sans vêtements ni argent ? Voilà tout le monde dans l'embarras, et la police avertie. Il y a aussi une mère qui s'inquiète." (quatrième de couverture) |
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