Titre : |
La dernière énigme |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Agatha Christie (1890-1976), Auteur ; Jean-André Rey, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Librairie générale française |
Année de publication : |
1991 |
Collection : |
Le Livre de poche, ISSN 0223-7091 num. 6970 |
Importance : |
250 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-05681-2 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Résumé : |
"Lorsque Gwenda avait vu la villa, elle n'avait pas hésité une seconde. C'était exactement ce qu'elle cherchait. Démodée peut-être, mais charmante...Gwenda s'y était sentie chez elle dès le premier instant. Pour un peu, cette maison aurait pu être celle de son enfance : chaque pièce lui évoquait des souvenirs confus... Son imagination lui jouait des tours, bien sûr. Comment pouvait-elle reconnaître cet endroit puisqu'elle n'avait jamais mis les pieds en Angleterre auparavant ? Pourtant, tout lui était familier... Pourquoi s'était-elle sentie glacée de terreur en regardant dans le hall, du haut de l'escalier ? Pourquoi ? La villa était-elle hantée ? Ou bien Gwenda devenait-elle folle ?" (quatrième de couverture) |
La dernière énigme [texte imprimé] / Agatha Christie (1890-1976), Auteur ; Jean-André Rey, Traducteur . - Paris : Librairie générale française, 1991 . - 250 p. - ( Le Livre de poche, ISSN 0223-7091; 6970) . ISBN : 978-2-253-05681-2 Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Résumé : |
"Lorsque Gwenda avait vu la villa, elle n'avait pas hésité une seconde. C'était exactement ce qu'elle cherchait. Démodée peut-être, mais charmante...Gwenda s'y était sentie chez elle dès le premier instant. Pour un peu, cette maison aurait pu être celle de son enfance : chaque pièce lui évoquait des souvenirs confus... Son imagination lui jouait des tours, bien sûr. Comment pouvait-elle reconnaître cet endroit puisqu'elle n'avait jamais mis les pieds en Angleterre auparavant ? Pourtant, tout lui était familier... Pourquoi s'était-elle sentie glacée de terreur en regardant dans le hall, du haut de l'escalier ? Pourquoi ? La villa était-elle hantée ? Ou bien Gwenda devenait-elle folle ?" (quatrième de couverture) |
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