Titre : |
Meurtre sur le Grandvaux |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Bernard Clavel (1923-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Albin Michel |
Année de publication : |
1991 |
Importance : |
198 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-286-04952-2 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
"Les personnages de ce roman m'habitaient depuis des années. Leur histoire aussi. Comme tout ce que l'on a si longtemps retenu, ils ont bondi hors de moi d'un coup. La souffrance qu'ils éprouvent m'a couru dans les veines. J'ai porté leur tourment avec eux. Je les ai accompagnés dans chacun de leurs gestes. Chaque mot qu'ils prononcent m'a déchiré le coeur. Si ce roman a jailli de moi d'un trait, c'est à la manière du sang qui coule d'une blessure.
La dernière ligne écrite, j'étais comme vidé de vie", avoue Bernard Clavel. Il est vrai qu'il atteint là une force tragique, une puissance, une maîtrise uniques. L'intensité du drame est à la mesure de sa brièveté. Des mots simples et forts, des images envoûtantes, une histoire qui claque comme un fouet nous mènent dans ce pays aussi mythique que vrai, où les hommes, isolés de tout, perdus dans les brouillards d'une montagne toujours noire, enfermés dans leur hiver, murés dans leurs secrets, se dressent, rudes, fiers, sauvages.
Ils s'en échappent à la recherche de quelques ressources marchandées dans de lointains voyages, de Nijni-Novgorod à Gibraltar. Quand ils reviennent au pays, ils ont encore la passion au coeur. Parfois jusqu'au meurtre, pour que justice soit faite. Ce roman, beau et pathétique comme un drame antique, vous saisira tant l'émotion et l'inattendu l'inspirent.
Quatrième de couverture |
Meurtre sur le Grandvaux [texte imprimé] / Bernard Clavel (1923-....), Auteur . - Paris : Albin Michel, 1991 . - 198 p. ISBN : 978-2-286-04952-2 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
"Les personnages de ce roman m'habitaient depuis des années. Leur histoire aussi. Comme tout ce que l'on a si longtemps retenu, ils ont bondi hors de moi d'un coup. La souffrance qu'ils éprouvent m'a couru dans les veines. J'ai porté leur tourment avec eux. Je les ai accompagnés dans chacun de leurs gestes. Chaque mot qu'ils prononcent m'a déchiré le coeur. Si ce roman a jailli de moi d'un trait, c'est à la manière du sang qui coule d'une blessure.
La dernière ligne écrite, j'étais comme vidé de vie", avoue Bernard Clavel. Il est vrai qu'il atteint là une force tragique, une puissance, une maîtrise uniques. L'intensité du drame est à la mesure de sa brièveté. Des mots simples et forts, des images envoûtantes, une histoire qui claque comme un fouet nous mènent dans ce pays aussi mythique que vrai, où les hommes, isolés de tout, perdus dans les brouillards d'une montagne toujours noire, enfermés dans leur hiver, murés dans leurs secrets, se dressent, rudes, fiers, sauvages.
Ils s'en échappent à la recherche de quelques ressources marchandées dans de lointains voyages, de Nijni-Novgorod à Gibraltar. Quand ils reviennent au pays, ils ont encore la passion au coeur. Parfois jusqu'au meurtre, pour que justice soit faite. Ce roman, beau et pathétique comme un drame antique, vous saisira tant l'émotion et l'inattendu l'inspirent.
Quatrième de couverture |
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