Titre : |
l'histoire d'amour de la rose des sables |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Henry de Montherlant (1896-1972), Auteur |
Editeur : |
Paris : Plon |
Année de publication : |
1954 |
Collection : |
Racines |
Importance : |
243 p |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
"" Le lieutenant Auligny est un jeune officier d'une intelligence moyenne, élevé dans des idées excellentes mais très étroites. L'an 1931, en garnison en France, sa mère, fille de général, le fait affecter au Maroc, pour qu'il y gagne du galon ou la croix. Auligny s'intéresse peu, d'abord, à la chose nord-africaine. Mais il se lie avec une jeune Bédouine, dont peu à peu il s'éprend, et alors tout change. Ce garçon sans envergure est un homme très droit, très juste, très délicat, très, trop sensible. Auligny amoureux se met à " penser " la question coloniale, ou plutôt à la sentir : à la sentir à travers celle qu'il aime. Plus il la sent, plus il lui apparaît que les indigènes ont raison en défendant leur sol. Le jour où on annonce le baroud qui peut lui valoir la croix, il se fait porter malade : il ne veut pas se battre contre les " Arabes ". Ce qu'il advient par la suite, et de lui, et de sa maîtresse, on le verra si on lit le livre. "(decitre.fr) |
l'histoire d'amour de la rose des sables [texte imprimé] / Henry de Montherlant (1896-1972), Auteur . - Paris : Plon, 1954 . - 243 p. - ( Racines) . Langues : Français ( fre)
Résumé : |
"" Le lieutenant Auligny est un jeune officier d'une intelligence moyenne, élevé dans des idées excellentes mais très étroites. L'an 1931, en garnison en France, sa mère, fille de général, le fait affecter au Maroc, pour qu'il y gagne du galon ou la croix. Auligny s'intéresse peu, d'abord, à la chose nord-africaine. Mais il se lie avec une jeune Bédouine, dont peu à peu il s'éprend, et alors tout change. Ce garçon sans envergure est un homme très droit, très juste, très délicat, très, trop sensible. Auligny amoureux se met à " penser " la question coloniale, ou plutôt à la sentir : à la sentir à travers celle qu'il aime. Plus il la sent, plus il lui apparaît que les indigènes ont raison en défendant leur sol. Le jour où on annonce le baroud qui peut lui valoir la croix, il se fait porter malade : il ne veut pas se battre contre les " Arabes ". Ce qu'il advient par la suite, et de lui, et de sa maîtresse, on le verra si on lit le livre. "(decitre.fr) |
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