Titre : |
Lettres de Madame de Sévigné |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Madame de Sévigné, Auteur |
Editeur : |
Paris : Librairie générale française |
Année de publication : |
1987 |
Collection : |
Livre de poche |
Importance : |
169 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-04005-7 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
"Madame de Sévigné, célèbre sans avoir jamais rien publié, demeure sans doute l'écrivain français le plus cité et le moins connu. Le mariage de sa fille, en 1670, avec le comte de Grignan, le départ de cette fille idolâtrée pour la Provence marquent le début d'une correspondance qui veut d'abord et surtout combler le vide de l'absence. En marge du Grand Siècle et de ses œuvres d'apparat, les Lettres de Madame de Sévigné sont un peu la conscience intime de son temps. En même temps, au fil des années s'approfondit un de nos plus grands écrivains du " moi ", qu'il n'est pas injuste de placer entre Montaigne et Stendhal. De la mode à la Mort, de Dieu à l'argent, tout se glisse dans la lettre à travers le prisme d'un amour à la fois sombre et lumineux. La raison des classiques y côtoie une imagination souvent fantastique ; la sagesse s'y mêle à la folie, le besoin de séduire à celui de se dire."(decitre.fr) |
Lettres de Madame de Sévigné [texte imprimé] / Madame de Sévigné, Auteur . - Paris : Librairie générale française, 1987 . - 169 p. - ( Livre de poche) . ISBN : 978-2-253-04005-7 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
"Madame de Sévigné, célèbre sans avoir jamais rien publié, demeure sans doute l'écrivain français le plus cité et le moins connu. Le mariage de sa fille, en 1670, avec le comte de Grignan, le départ de cette fille idolâtrée pour la Provence marquent le début d'une correspondance qui veut d'abord et surtout combler le vide de l'absence. En marge du Grand Siècle et de ses œuvres d'apparat, les Lettres de Madame de Sévigné sont un peu la conscience intime de son temps. En même temps, au fil des années s'approfondit un de nos plus grands écrivains du " moi ", qu'il n'est pas injuste de placer entre Montaigne et Stendhal. De la mode à la Mort, de Dieu à l'argent, tout se glisse dans la lettre à travers le prisme d'un amour à la fois sombre et lumineux. La raison des classiques y côtoie une imagination souvent fantastique ; la sagesse s'y mêle à la folie, le besoin de séduire à celui de se dire."(decitre.fr) |
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