Titre : |
Meuse l'oubli |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Philippe Claudel, Auteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
2006 |
Collection : |
Folio |
Importance : |
157 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-031503-1 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
"" Des jours durant, j'ai décliné le visage et le nom : "Paule, ma Paule, ma petite Paule du bord de mer, du centre des terres sous les volées d'orage, des soirs de Gand et de Lille", j'ai brassé ses cheveux et sa nuque, ses épaules et ses cuisses, le rire dans ses yeux, et je tentais de l'unir, ma Paule en allée, à l'impossible mot... morte, morte, morte... " Face à la perte de Paule, le narrateur fuit les lieux où ils ont vécu et finit par s'installer dans le village de Feil, sur la Meuse. Dans ces paysages nostalgiques et cette atmosphère brumeuse, la présence de Paule devenue obsédante se mêle aux souvenirs d'une enfance douloureuse. Dans Meuse l'oubli, Philippe Claudel évoque avec talent le renoncement et l'acceptation du deuil, et restitue avec justesse et pudeur cette souffrance que seul le temps atténue.." |
Meuse l'oubli [texte imprimé] / Philippe Claudel, Auteur . - Paris : Gallimard, 2006 . - 157 p.. - ( Folio) . ISBN : 978-2-07-031503-1 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
"" Des jours durant, j'ai décliné le visage et le nom : "Paule, ma Paule, ma petite Paule du bord de mer, du centre des terres sous les volées d'orage, des soirs de Gand et de Lille", j'ai brassé ses cheveux et sa nuque, ses épaules et ses cuisses, le rire dans ses yeux, et je tentais de l'unir, ma Paule en allée, à l'impossible mot... morte, morte, morte... " Face à la perte de Paule, le narrateur fuit les lieux où ils ont vécu et finit par s'installer dans le village de Feil, sur la Meuse. Dans ces paysages nostalgiques et cette atmosphère brumeuse, la présence de Paule devenue obsédante se mêle aux souvenirs d'une enfance douloureuse. Dans Meuse l'oubli, Philippe Claudel évoque avec talent le renoncement et l'acceptation du deuil, et restitue avec justesse et pudeur cette souffrance que seul le temps atténue.." |
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