| Titre : |
Le Capital |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Stéphane Osmont, Auteur |
| Editeur : |
Paris : Grasset |
| Année de publication : |
2004 |
| Collection : |
Le livre de poche |
| Importance : |
574 p. |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-11701-8 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
"A travers les aventures de Marc Tourneuillerie, patron de la plus grande banque européenne, ce roman est la satire la plus féroce, la plus drôle et la plus efficace que l'on ait jamais écrite sur le monde capitaliste actuel.On y découvre la vie d'un établissement financier où la soif d'argent et de pouvoir s'habille des atours de la rationalité gestionnaire. On y évolue dans les milieux de l'élite économique et de la jet-set internationale entre Paris, Londres, New York, Davos, Tokyo.
On y vit dans les paradis artificiels de la drogue, les images artificielles d'Internet, la bulle artificielle des fortunes éphémères, le temps artificiel du décalage horaire, le sexe artificiel des fantasmes délirants. On y réalise que les nouveaux jeux vidéo sont en train de tuer nos enfants, les nouvelles valeurs de tuer notre humanité, les nouvelles idoles de tuer nos désirs. Et que nous sommes peut-être tous devenus des monstres.
Bienvenue dans le monde merveilleux du capitalisme à ciel ouvert ! " |
Le Capital [texte imprimé] / Stéphane Osmont, Auteur . - Paris : Grasset, 2004 . - 574 p.. - ( Le livre de poche) . ISBN : 978-2-253-11701-8 Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
"A travers les aventures de Marc Tourneuillerie, patron de la plus grande banque européenne, ce roman est la satire la plus féroce, la plus drôle et la plus efficace que l'on ait jamais écrite sur le monde capitaliste actuel.On y découvre la vie d'un établissement financier où la soif d'argent et de pouvoir s'habille des atours de la rationalité gestionnaire. On y évolue dans les milieux de l'élite économique et de la jet-set internationale entre Paris, Londres, New York, Davos, Tokyo.
On y vit dans les paradis artificiels de la drogue, les images artificielles d'Internet, la bulle artificielle des fortunes éphémères, le temps artificiel du décalage horaire, le sexe artificiel des fantasmes délirants. On y réalise que les nouveaux jeux vidéo sont en train de tuer nos enfants, les nouvelles valeurs de tuer notre humanité, les nouvelles idoles de tuer nos désirs. Et que nous sommes peut-être tous devenus des monstres.
Bienvenue dans le monde merveilleux du capitalisme à ciel ouvert ! " |
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