Titre : |
La princesse de Clèves : extraits |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie-Madeleine de Lafayette, Auteur |
Editeur : |
Paris : Larousse |
Année de publication : |
1984 |
Collection : |
Classiques Larousse |
Importance : |
174 p |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-03-034501-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
"La Princesse de Clèves met en scène, à la cour du roi Henri II, un trio tragique : le duc de Nemours est épris de la princesse de Clèves, qui l'aime en retour, mais est adorée de son époux... Par refus de s'abandonner à une passion coupable, la princesse commet l'irréparable: elle avoue tout au prince. Et cet aveu central dont dépend l'issue du drame a fait couler beaucoup d'encre, ainsi que le résume la romancière Marie Darrieussecq: « Les premiers lecteurs de Mme de Lafayette, au XVIIe siècle, le jugèrent invraisemblable : quelle épouse pense devoir informer son mari de ses tentations adultères ? Au XVIIIe siècle, cet aveu, on l'a trouvé charmant. Au XIXe, immoral. Au XXe, idiot : mais qu'elle l'épouse donc, son bellâtre de cour! Et au début du XXe, on dit qu'il ne faut plus lire ce livre, mais c'est encore une autre histoire. »" (decitre) |
La princesse de Clèves : extraits [texte imprimé] / Marie-Madeleine de Lafayette, Auteur . - Paris : Larousse, 1984 . - 174 p. - ( Classiques Larousse) . ISBN : 978-2-03-034501-6 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
"La Princesse de Clèves met en scène, à la cour du roi Henri II, un trio tragique : le duc de Nemours est épris de la princesse de Clèves, qui l'aime en retour, mais est adorée de son époux... Par refus de s'abandonner à une passion coupable, la princesse commet l'irréparable: elle avoue tout au prince. Et cet aveu central dont dépend l'issue du drame a fait couler beaucoup d'encre, ainsi que le résume la romancière Marie Darrieussecq: « Les premiers lecteurs de Mme de Lafayette, au XVIIe siècle, le jugèrent invraisemblable : quelle épouse pense devoir informer son mari de ses tentations adultères ? Au XVIIIe siècle, cet aveu, on l'a trouvé charmant. Au XIXe, immoral. Au XXe, idiot : mais qu'elle l'épouse donc, son bellâtre de cour! Et au début du XXe, on dit qu'il ne faut plus lire ce livre, mais c'est encore une autre histoire. »" (decitre) |
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